Le 7e Régiment de Hussards

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Historique sous le IInd Empire et le début de la 3e république

 

Le 7e Hussard a été recréé en 1840. Le 22 mai 1854, il reçoit ordre de partir pour l'Algérie et prend garnison à Mustaphe et Blidah. Durant son séjour, jusqu'en mai 1858, il n'a que deux affaires sérieuses, au combats de Tizi Ouzou et d'Ouargla.

En 1859, lors de la campagne d'Italie, il sert à la division de Clérembault. A la bataille de Solférino, il est appelé par le général Niel pour aller secourir une brigade d'infanterie et subit quelques pertes dans une charge peu appuyée dans les vergers.

En 1870, il est à l'armée du Rhin à la division du général Legrand. il s'illustre lors des grandes charges de la bataille de Mars la Tour le 16 aout 1870.
"Faisant traverser la ravin de Ville sur Yron à sa division, le général Legrand entama la charge à 600 metres de l'ennemi, les 3e dragons, 2e et 7e hussards abordèrent la cavalerie adverse, qui faisait, avec un calme qui semblable à de la stupefaction, une marche de flanc en colonne de pelotons. C'est au moment où elle exécutait le mouvement de pelotons à gauche pour se mettre en bataille, que nos escadrons la traversèrent. Quelques officiers purent même traverser la colonne avant son deploiement. Ce fut la tête de cette colonne ennemie, composée de dragons royaux que le 7e hussard rencontra. Dans cette charge le régiment traversa la ligne ennemie, se replia sur elle et la poursuivit la pointe au dos sans rencontrer de resistance sérieuse." (historique 7e hussard). Dans cette charge, le régiment perd 60 hommes tués, blessés ou disparus, dont 10 officiers. Le 7e hussard est brièvement engagé à Servigny durant le siège de Metz et le 27 octobre, lors de la capitulation de Metz, il n'a plus un cheval, tous ayant été livrés à la boucherie pour approvisionner l'armée en viande.
Le dépôt du régiment est caserné à Castres et contribue à former quatre escadrons de marche envoyés à l'armée de la Loire.

Après la guerre, le régiment est reconstitué en mars 1871, sur la base des cadres du 7e hussards, des prisonniers revenus d'Allemagne et de la fusion avec le 3e régiment de marche de hussards formé pendant la guerre. Il est en garnison à Bordeaux, puis Pontivy (1880) et Tours (1886).

Henri Léopold Charles de Sers

Né le 25/10/1822 à Toulouse. Elève de Saint Cyr, de la promotion du tremblement (1842-1844), il est nommé Sous Lieutenant le 1/10/1844 au 19e régiment de ligne, mais rejoint la cavalerie et le 7e régiment de Hussards en 1845, par permutation.

Il est promu Lieutenant le 12/4/1850, puis Capitaine le 1/10/1853.

De Sers suit son régiment embarqué pour l'Algérie à l'été 1854 et tient garnison à Mustapha, Blidah, Milianah et Orléansville, avec un détachement poussé jusqu'à Laghouat, garnisons espacées qui necessitent de nombreuses escortes et déplacements sur le territoire. Durant cette période, le régiment n'a que deux affaires sérieuses, notamment en janvier 1856 à Tizi Ouzou : Le 29 janvier pendant un fourrage, il doit fournir une charge contre les Arabes qui menacent un Goum ; les hussards sabrent l'ennemi, lui tuent une douzaine d'hommes pour 2 hussards et 5 chevaux blessés. Le 19 mars de la même année, lors d'une colonne près des montagnes des Beni-Ratten, il doit encore charger pour repousser un ennemi qui inquiète l'arrière garde. Henri de Sers a l'occasion de se distinguer lors de ces deux affaires et il reçoit la croix de Chevalier de la Légion d'Honneur le 26/3/1856.

Le régiment rentre en France en juin 1858. De Sers pose ici dans la magnifique grande tenue d'officier du 7e Hussards d'avant 1860 : Pelisse verte ornée de la peau d'agneau grise, dolman vert aux parements garances et aux brandebourgs or, cordon, pantalon garance, ceinture cramoisie et jaune, galons de grades or (ici trois, pour capitaine). Cette tenue dispendieuse représentait une véritable charge pour les officiers sans fortune. Ici bien visible, la particularité de l'uniforme du 7e Hussards, tout juste revenu d'Algérie : le port de la casquette d'Afrique du modèle des chasseurs d'Afrique, mais avec un bandeau vert clair et un plumet ajouté à la grande tenue.

Ce beau cliché du photographe Le Gray, rehaussé de couleur, met parfaitement en relief cette tenue splendide, ainsi que la croix de la Légion d'Honneur, récompense de son courage en Algérie.

Lors de la campagne d'Italie, de Sers est affecté à l'escadron de dépôt et ne participe pas à la campagne. En 1860, il épouse sa cousine germaine, Melle Jougla de Paraza et démissionne de l'armée.

Devenu maire de la commune de Candé, il reprend du service durant la guere de 1870 comme officier affecté à l'état major du gouverneur de Paris. Après la guerre, il est représentant du Loir et Cher à l'Assemblée nationale de 1871 jusqu'en 1876.

Henri de Sers est mort en 1904. Il a laissé un hôtel particulier à Paris, actuellement transformé en Hôtel 5 étoiles.

Photo Le Gray (Paris)

    


   

Ferdinand Charles Fenis de Lacombe

Engagé volontaire, passé sous officier, puis officiers aux chasseurs d'Afrique. Après avoir été plusieurs années capitaine instructeur au 2e régiment de Chasseurs d'Afrique, il était passé successivement  Chef d'Escadrons, puis Lieutenant Colonel au 1e régiment de Spahis.
Le général du Barail qui le cotoya aux Spahis se souvient de lui : "Ancien capitaine instructeur aux chasseurs d'Afrique, sans sortir de son régiment, sans faire un jour d'expédition, il avait pu émailler ses états de service de nombreuses campagnes. On l'avait surnommé "le maître d'armes", à cause de son goût pour l'escrime qu'il pratiquait en professeur. Il avait installé chez lui une salle d'armes et pour être de ses amis il ne fallait pas en bouger. Avec ses moustaches grises tombantes et sa tête dans les épaules, il affectait les allure d'un vieux militaire, insupportable, pontifiant, régentant tout le monde, se mêlant de toute chose et s'attirant toutes sortes de déboires. En sa qualité d'ancien capitaine instructeur, il joignait à ses prétentions en escrime d'autres prétentions très grandes et très peu justifiées en équitation. D'abord il avait la spécialité de rendre rétifs tous les chevaux qu'il s'imaginait dresser. Quand il était en selle, il affectait plutôt la pose d'un officier de manège, qui recherchait les allures raccourcies et cadencées, que celles d'un officier de cavalerie, à qui on demandait de l'élan et de la fougue."

Fenis de Lacombe est promu Colonel le 13/8/1857 au 7e régiment de Hussards. Dans ce grade non plus, il ne semble pas avoir laissé des souvenirs exceptionnels, ainsi que l'a raconté le général de Cointet, alors officier subalterne au régiment : "Le colonel s'était lié aux spahis au colonel devenu général Fleury auquel il avait rendu un grand service financier, de là une protection toute puissante qui ne lui a jamais fait défaut. Lorsqu'à diverses reprises les généraux sous les ordres desquels il fut placé demandèrent se retraite d'office, il disait alors : "je m'en fous, j'irai trouver cette canaille de Fleury" il appelait du reste tout le monde canaille. Il ne manquait pas d'esprit naturel, mais d'un esprit foncièrement méchant, c'était un malhonnete homme dans toute l'acceptation du mot, avec cela un peu ivrogne et très triste militaire. Il ne connaissait pas disait-il l'ordonnance au delà de l'école d'escadron et de ce fait il nous dit à nous, les capitaines commandants : "je ne connais pas les évolutions, mais si je me fous dedans, je foutrais les capitaines commandants dedans" et il nous tint parole." (Vivat Hussar n°4).

Fenis de Lacombe conduit son régiment durant la campagne d'Italie. Il est retraité en 1865, commandeur de la Légion d'Honneur.


Jean Colombat

Né le 30/1/1821 à Amberle (Loire)

Engagé au 2e régiment de Spahis, il y a servi comme sous officier et y a reçu la médaille militaire le 9/8/1854. Affecté aux Guides de la Garde comme maréchal des logis, il y a reçu la croix de la légion d'Honneur le 30/12/1858 ("15 ans de service effectif, 11 campagnes") et y a fait la guerre d'Italie, ayant reçu la médaille commémorative de la campagne d'Italie.

Après ce beau début de carrière comme sous officier, il est promu Sous lieutenant le 17/1/1863 au 7e régiment de Hussards.

Il occupe les fonctions de Lieutenant à la reconstitution du régiment après la guerre. Il est retraité en 1873 et mort le 25/3/1890.


Photo Fatalot (Lyon)


   

 

Charles Cousin de Montauban

Né le 9/3/1830 à Bellevue (Seine et Oise), fils de Charles Guillaume, officier mythique de la conquête de l'Algérie, aux Spahis et aux chasseurs d'Afrique, il passe sa jeunesse avec son père en Algérie et se frotte tout jeune à l'élite de l'armée française. Le futur général du Barail ecrit ainsi dans ses mémoires : "Le petit Charles de Montauban était notre coqueluche à tous. Il parlait arabe, portait le costume indigène et montait à cheval comme un fils du pays".

Engagé comme chasseur le 19/6/1849 au 2e régiment de Chasseurs d'Afrique, régiment commandé par son père, il y est nommé brigadier 5 mois plus tard, puis maréchal des logis le 9/3/1850. Ses appuis dans les hautes sphères de l'armée lui permettent d'accéder rapidement à l'épaulette de Sous Lieutenant le 12/6/1852.

Il quitte l'Afrique le 6/7/1855 pour rejoindre la Crimée oú reste une année. Il est nommé chevalier de la Légion d'Honneur le 14/9/1855 et y est promu Capitaine le 31/12/1855 et y reçoit la médaille britannique. Revenu en France, il est attaché au 5e régiment de Lancier. Le 12/1/1860, il est nommé officier d'ordonnance de son père nommé à la tête de l'expédition de Chine. Embarqué pour la Chine, il fait toute la campagne et est cité à l'ordre du corps expéditionnaire le 19/9/1860 comme s'étant distingué dans un combat contre l'armée tartare sur la route de Pékin. Si l'on en croit Viel Castel, il semble aussi que le jeune officier ait profité du sac du Palais d'été, pour s'enrichir. Le mémorialiste indique ainsi dans son journal que "le jeune Palikao a été le pillard le plus effronté de l'armée de Chine" et qu'il est revenu  "précédé de deux cent grandes caisses contenant les produits de sa razzia". 

Promu Chef d'escadrons le 6/11/1860, il revient en France le 23/7/1861 pour prendre un poste de son grade au 7e régiment de Hussards. Ce qui nous vaut cette belle photo prise par Ken, photographe à Paris, dans la grande tenue du régiment. Il arbore ses décorations reçues à cette date : Officier de la Légion d'Honneur (décoration reçue le 27/12/1861), Chevalier de 1er classe de l'ordre de St Ferdinand d'Espagne, 5e classe du Medjidié, Valeur militaire de Sardaigne, médailles de Chine et de Crimée.

Charles de Montauban, devenu Vicomte le 9/1/1867, est promu Lieutenant Colonel le 12/8/1868 au 4e régiment de Hussards.

A la déclaration de guerre, il est nommé Colonel du 1er régiment des lanciers de marche le 27/8/1870. Lors de la bataille de Sedan, il est blessé d'une plaie contuse par balle dans la région épigastrique et est fait prisonnier de guerre. A son retrour de captivité, il est mis à la tête du 3e régiment de Hussards avec lequel il fait le second siège de Paris contre la Commune. Il est fait commandeur de la Légion d'Honneur le 20/8/1874, alors qu'il a repris le commandement du 4e régiment de Hussards.

Promu Général de brigade le 6/5/1875. Il est mort le 23/7/1889.

Photo Ken (Paris)


René Marie Georges de Coniac

Né le 2/12/1836  à Bain de Bretagne, Saint Cyrien entre 1855 et 1857, René de Coniac est nommé Sous Lieutenant au 7e régiment de Hussards à sa sortie de l'école le 1/10/1857. Après avoir brièvement servi en Algérie, il suit une première fois les cours de Saumur entre 1861 et 1862 et en sort classé 3e sur 44 élèves.

Il est promu Lieutenant le 13/8/1863 et retourne à Saumur compléter sa formation entre 1864 et 1865, ce qui nous vaut ce joli portrait. Il renouvelle son classement (3e sur 22), témoignage de ses qualités equestres.

Le 8/1/1868, il est promu Capitaine et passe comme instructeur au 3e régiment de Dragons. Ce poste lui fait rater les premières semaines de la guerre de 1870 et il reste au dépôt de son régiment. La necessité de renouveler les cadres après les revers de l'armée impériale lui permet de prendre le commandement d'un escadron en novembre 1870 au 6e régiment de marche des dragons avec lequel il fait campagne jusqu'en mars 1871.

Après la guerre, de Coniac poursuit une carrière metropolitaire distinguée : comme écuyer à l'école de Saint Cyr (1871-1876), puis dans divers régiments de Dragons. Il est chef d'état major de la 1er division de cavalerie de 1883 à 1886.

Il termine sa carrière comme Colonel du 19e régiment de chasseurs, officier de la Légion d'Honneur. Il est mort en 1895.

Photo Le Roch (Saumur) 

    


   

Charles Marie Victor d'Hombres

 

Né le 29/8/1843 dans l'Aveyron, il fait l'école de Saint Cyr (promotion du Danemark) et est nommé Sous lieutenant le 1/10/1865. Dès sa sortie de Saint Cyr, il est affecté au 7e Hussards et détaché à l'école de Saumur comme officier d'instruction.

Il est pris en photo à Saumur dans sa pelisse d'officier, à la fourrure grise, caractéristique du 7e hussards.

Il participe à la guerre de 1870 avec son régiment à l'armée du Rhin et est compris dans les officiers capturés après la capitulation de Metz.

Il quitte le 7e Hussard en 1876, date de sa promotion comme Capitaine. Il poursuit alors une carrière en métropole, enchainant les garnisons. Il est nommé Colonel en mars 1898 et il commande le 2e régiment de hussards de 1898 à 1904, date de sa mise à la retraite.

 

Photo Le Roch (Saumur)


Emile Eugène Casimir Bouchard est né le 30/3/1828 à Boulogne.

 

Sous lieutenant 15/11/1854 au 7e régiment de Hussards, il a sans doute participé aux expéditions d'Algérie et à la campagne d'Italie.

Lieutenant le 17/11/1862, il est nommé Capitaine le 3/3/1869 et reçoit la Légion d'Honneur le 14/8/1869..

Il est photographié à Castres en 1872, arborant le nouveau dolman des officiers de cavalerie légère. Ce modèle, caractérisé par l'étoile portée au collet, ne sera en service que durant le premier semestre 1872, avant d'être remplacé par une tenue similaire, mais ornée du numéro du régiment.

Il passe au 16e Chasseurs à cheval en 1873 lors de la création du régiment, constitué notamment d'un escadron du 7e hussards. Il y est toujours en 1879, avant de prendre sa retraite.

Il est mort le 19/6/1885.

 

Photo Marc (Castres)

    


    

 

Stanislas Amédé Chaulin est né le 22/6/1822 à Paris.

Engagé comme simple cavalier au 4e régiment de chasseurs d'Afrique le 2/7/1843. Il y gravit tous les grades jusqu'à sa promotion comme Sous lieutenant le 29/12/1852. Il passe alors au 7e Hussards et y sert de 1852 à 1855.

Nommé Lieutenant le 19/8/1855, il est muté au 2e régiment de chasseurs d'Afrique. Il y reçoit la croix de la légion d'honneur (17/1/1857) et fait la campagne d'Italie.

Capitaine le 29/12/1860, il fait la campagne du Mexique entre 1865 et 1867. Le 8/8/1866, il est cité à l'ordre du corps expéditionnaire pour s'être particulièrement distingué au combat livré aux Mexicains le 8/8/1866 "en tenant toujours la tête de la charge".

De retour en France en 1867, il est capitaine adjudant major du régiment. Durant la guerre de 70, il commande un escadron dans les opérations autour de Metz.

Nommé Chef d'escadron le 28/9/1870, lors du siège de Metz, il passe au 7e régiment de Hussards, avant de partir en captivité à la capitulation de la place.

De retour en France, il retrouve son poste. Promu officier de la Légion d'Honneur le 11/10/1873, il se fait photographier à Bordeaux où son régiment est en garnison entre 1876 et 1880. Il porte le dolman d'officier de hussard modèle 1872, à collet arrondi. Officier de la légion d'honneur, il prend sa retraite en 1878. Il est mort le 4/3/1883.

 

Photo Séréni (Bordeaux)


 

Henri Etienne Espérance Gouget

Né le 14/2/1852 à Dijon. Elève de Saint Cyr en 1870, il interrompt ses études pour servir lors de la guerre de 1870, comme Sous Lieutenant au 78e régiment de marche. A la fin de la guerre, reprenant sa formation de Saint Cyrien, son rang de sortie (4eme) lui ouvre les portes de l'école d'état major et il est promu Lieutenant le 30/12/1874, pour effectuer ses stages au 5e régiment de Hussards (1875-1876), puis au 27e régiment d'infanterie.

Promu Capitaine le 13/3/1877, il sert à l'état major de la 15e division d'infanterie (1877), puis à l'état major du 11e corps d'armée (1879). En 1880, il sert à l'état major du ministre de la guerre et passe dans l'arme de la cavalerie à la supression du corps de l'état major, affecté au 8e Hussards. Le 30/10/1886, il passe au 18e régiment de chasseurs, puis comme capitaine commandant d'escadrons,  le 1/7/1877, au 7e régiment de Hussards. En octobre 1889, tout en restant attaché au 7e Hussards, il est placé à l'état major du 9e corps d'armée de Tours, fonction qu'il occupe lorsque est prise cette photographie.

Le 9/8/1892, il est nommé Chef d'Escadrons du 7e régiment de dragons, poste qu'il occupe 3 ans, avant de retrouver des fonctions d'état major comme chef d'état major de la 7e division de cavalerie. Il reçoit la croix de chevalier de la Légion d'Honneur le 10/7/1894. Le 10/7/1898, il est nommé Lieutenant Colonel et maintenu dans cette fonction.

Gouget est promu Colonel le 9/4/1902 et prend la tête du 2e régiment de Hussards.

Le 22/12/1907, il est nommé Général de Brigade et prend le commandement de la brigade de cavalerie du 7e corps d'armée. Il est nommé Officier de la Légion d'Honneur le 20/12/1908. Il occupe ce commandement jusqu'à son passage au cadre de réserve en fevrier 1914, un fois atteints ses 62 ans.

La déclaration de guerre le rappelle à l'activité et il est nommé commandant de la 140e brigade de réserve. En octobre 1914, il est relevé de son commandement par le général Fayolle et ne reprend plus de position active durant la guerre. Il est cependant promu commandeur de la Légion d'Honneur le 24/1/1917 et reçoit la croix de guerre en 1916.

Il est mort le 15/6/1937.

Photo Peigné (Tours)

      

Les colonels du 7e régiment de Hussards

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