Historique du 3e régiment de Hussards
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IInd Empire et IIIe République

 

Le 3e Hussard (Esterhazy) est en garnison en métropole du début de l'empire à 1861. A cette date, il est appelé en Algérie et stationne à Blidah.  Il contribue à plusieurs colonnes de pacification de mouvements insurrectionnels. En septembre 1864, une insurrection sérieuse eclate dans le cecle de Boghar et le régiment doit contribuer aux colonnes de repression. Le 15/9/1864, il a l'occasion de charger l'ennemi à Aïn Zafrant, puis le 7/10/1864 à Aïn Malakov où il subit quelques pertes. "Pendant cette expédition aussi pénible que laborieuse, commencée par 53 degrés de chaleur sous la tente et qui se terminait par huit degrés de froid, au milieu des neiges et des pluies diluviennes, les hommes supportèrent les fatigues et les privations avec une constance égale à leur bravoure" (historique du régiment).

Rentré en France en 1865, la guerre de 1870 le trouve en garnison à Lyon. Il est mobilisé à la division de cavalerie du 1er corps de l'armée du Rhin et se rassemble en Alsace. Engagé à Wissembourg le 4/8/1870, il perd une trentaine d'hommes sous le feu ennemi. Deux jours plus tard, à Froeschwiller, il protège la retraite de l'armée vaincue. Regroupé ensuite à Chalons, il participe à la campagne qui mène à Sedan, le 1/9/1870, et echappe presque miraculeusement à l'encerclement. Durant la seconde partie de la guerre, le régiment fait campagne en Normandie en octobre. Il a un engagement avec la cavalerie ennemie le 14/10 à Ecouis. En janvier 1871, il entre dans la composition de 19e corps d'armée de la deuxième armée de la Loire, toujours en Normandie, où il sert essentiellement d'eclaireurs, jusqu'à la fin de la guerre.

Sous la République, il est en Algérie de 1875 à 1876, notamment lors des opérations d'El Amri.

   

Aimable Antoine Jacques Emmanuel de Crussol d'Uzès

Né à Paris le 18/1/1840, c'est le fils ainé du duc d'Uzès, une des plus ancienne famille noble du pays. Saint Cyrien de la promotion 1857-1859, il est nommé Sous Lieutenant le 1/10/1859 au 3e régiment de Hussard. Il est ici photographié avant 1860, affublé du Talpack (reçu en 1855) et portant encore la pelisse (supprimée en 1860).

De Crussol d'Uzès embarque pour l'Algérie avec son régiment le 12/9/1861 et y fait campagne jusqu'en 1865, étant promu Lieutenant en 1864. Sa carrière militaire reste cependant peu marqué par des événements significatifs. En effet, sa seule blessure est causée  lors d'un accident de chasse au cours duquel il perd un oeil le 5/12/1866.

Il quitte l'armée en 1867, après avoir épousé Anne de Rochechouart Mortemart et se charge de la gestion de ses domaine. Il a une brève une carrière politique en étant élu député du Gard dans les rangs monarchistes entre 1871 et 1876.

Devenu 12e duc d'Uzès à la mort de son père en 1872, il décède à son tour le 28/11/1878.

Photo Disdéri (Paris) 


Marie  Hippolyte Ernest Trameson

Né le 18/6/1841 à Saint Révérien (Nièvre), ce fils d'huissier est engagé volontaire le 15/2/1860 comme cavalier au 3e régiment de Hussards. Nommé brigadier en septembre, il est détaché à l'école de Saumur comme brigadier élève instructeur dont il sort premier de sa promotion en mars 1862. Il est alors nommé maréchal des logis et il rejoint son régiment en Algérie.
Il retourne de nouveau à Saumur en novembre 1863, cette fois comme maréchal des logis élève instructeur, ce qui nous vaut ce joli cliché dans la belle tenue portée par le régiment (dolman gris argentin - gris clair - et pantalon garance).

De nouveau sorti major de l'école, il est promu Sous Lieutenant le 8/7/1863 et rejoint le 4e régiment de chasseurs à cheval et part de nouveau en Algérie en novembre 1864. Trameson retourne une troisième fois à Saumur pour y suivre les cours des sous lieutenant d'instruction d'octobre 1868 à octobre 1869. Il en sort cette fois 4e sur 42 élèves, n'échouant que de peu à renouveller ses deux premiers exploits...
Il fait la guerre au 4e chasseurs à cheval et est compris dans la capitulation de Metz.

Après la guerre, il est nommé Lieutenant le 30/4/1872, puis promu Capitaine le 28/8/1877 au 11e régiment de chasseurs. Il reçoit la croix de la Légion d'Honneur en juillet 1885

Il est mort en 1933.

Photo le Roch (Saumur)

       


 
   

Adolphe-Charles-Edouard-Eugène Jannot de Moncey

Petit neveu du maréchal de Moncey, il est engagé volontaire au 2e régiment de cuirassiers en 1852. Promu sous officier en 1854, il accède à l'épaulette comme Sous-Lieutenant le 13/8/1857 et est nommé au 3e régiment de Hussards. C'est dans ce grade qu'il est photographié à gauche dans l'uniforme des hussards d'avant la réforme de 1860 (dolman gris argentin à tresses blanches, ceinture à cordons et cordon fourragère). La photo est prise à Saumur entre 1859 et 1860 où il sert comme officier d'instruction. Quelques mois plus tard, il endosse le nouvel uniforme des Hussards et se fait immortaliser, ici à droite,  par le célèbre Disdéri. Sa coupe de cheveux aussi a changé.

Il passe Lieutenant le 17 Janvier 1863, alors que son régiment est déjà depuis un an en Algérie.

Le 7 octobre 1864, lors d'une engagement contre les arabes à Aïn Malakof, il est tué en chargeant à la tête de son escadron. Il est enterré au cimetierre de Djelfa, avec les deux hussards morts à ses côtés en essayant de le protéger.


Cet engagement permet de capturer un butin considérable de 3 000 chameaux, 30 000 moutons, un millier de bœufs et de bêtes de somme, un grand nombre de tentes et d'objets de campement ainsi qu'une somme d'argent importante, représentant ensemble une valeur d’un million et demi, en chiffres ronds. Il eut dans les tribus un très grand retentissement et contribua puissamment à avancer l'heure de la pacification.

 

    


Thomas Carrichon

Né le 28 novembre 1812 à Villefranche-sur-Saône, Thomas Carrichon est engagé volontaire comme soldat au 15e régiment d'infanterie légère le 18 juin 1831. En avril 1836, il est cassé de son grade de sous officier et transféré à la 1ère compagnie de fusiliers de discipline, en Afrique, où il fera l'essentiel de sa carrière lors des 20 prochaines années. Il passe dans la cavalerie le 14 janvier 1837 étant transféré aux Spahis réguliers d'Oran. Le 7 Mai 1837, il y est promu brigadier, puis maréchal des logis le 6 Avril 1838.
Il est nommé Sous-Lieutenant le 11 décembre 1840, puis Lieutenant au 2e Régiment de Spahis en 1844.

Le 21/6/1846, il est promu Capitaine trésorier et est décoré de la Légion d'Honneur le 10 Décembre 1849. Ses notes de 1855 indiquent "Officier très remarquable, sous les rapports militaires et principalement dans les rapports administratifs. Il est la cheville ouvrière du Corps depuis de longues années. Sujet des plus méritants. A faire avancer."

Thomas Carrichon rentre en métropole, promu Major au 3ème Hussards, le 27 juin 1856 : "Officier bien élevé, instruit, d'une tenue parfaite. Est resté très longtemps en Afrique, où il a bien fait la guerre avant d'entrer dans la comptabilité - très intelligent, énergique - Comptable distingué et d'une grande loyauté. Monte assez bien à cheval, mais n'a pas une instruction militaire très forte. Peut commander le régiment à la manœuvre - Sert avec un très grand zèle et se rend très utile. Très méritant." 
Il est fait officier de la Légion d'Honneur le 21 Juillet 1861, date de l'envoi du 3ème Hussards en Algérie (à Blidah), il y restera jusqu'en juillet 1865, période où est prise cette photo.
Il est admis à faire valoir ses droits à la retraite en mai 1866 et décède le 19 octobre 1895, à Steenwerk.

       


   

Pierre de Mornay Soult de Dalmatie

Né le 9/2/1837 à Paris, Pierre est le fils du Marquis de Mornay, ancien officier de la Garde Royale et député monarchiste, et d'Hortense Soult, fille du maréchal de France. Il fera changer son nom en 1859 pour y apposer le nom de sa mère.

Elève de l'école de Saint Cyr, sorti dans un rang moyen (212 sur 416), il est nommé Sous Lieutenant le 1/10/1856 au 3e régiment de Hussards.

Il est promu Lieutenant le 17/3/1860. Le 29/11/1860, il est détaché comme officier d'ordonnance du ministre de la guerre, le maréchal Randon. Il occupe ces prestigieuses fonctions sur ce portrait, comme le démontrent les aiguillettes et la double bande blanche sur le pantalon, jusqu'en 1863 date à laquelle il rejoint son régiment en Algérie.

Promu Capitaine le 12/3/1864. Après son retour en France à l'été 1865, il rejoint la Garde Impériale le 12/5/1866, au sein du magnifique régiment des Guides de la Garde. Quelques semaines après le début de la guerre de 1870, il est détaché comme officier d'ordonnance du maréchal Bazaine, commandant en chef l'armée du Rhin, poste qu'il occupe jusqu'à la capitulation de Metz le 28/10/1870, accompagnant le général en chef lors de toutes les batailles autour de Metz. Entre temps il a reçu la croix de la légion d'Honneur le 4/9/1870. Après la guerre il témoignera lors du procès Bazaine.
Après la guerre et la dissolution de la Garde, il rejoint le nouveau 9e régiment de Hussards, puis en 1873, il passe au 20e régiment de chasseurs, et sert comme officier détaché à l'état major général du Ministre de la guerre.

Promu Chef d'escadrons le 28/12/1875, au 7e régiment Hussards, puis au 12e régiment de chasseurs, il reçoit la croix d'officier de la Légion d'Honneur le 7/7/1885.

Lieutenant Colonel en 1887, il sert successivement au 12e, puis 1er régiments de chasseurs, avant de prendre sa retraite en décembre 1891.

Il est mort le 3/1/1905.

Photo Disdéri (Paris)


Paul Julien Barbier

Né le 2/6/1846 à Paris. Elève à Saint Cyr en 1868, classé 56e (sur 239), il est nommé Sous Lieutenant au 3e régiment de Hussards le 1/10/1866. Il est détaché à Saumur le 15/10/1868 pour suivre durant un an les cours de lieutenant instructeur et en sort classé 28e sur 42.

Il fait campagne contre l'Allemagne jusqu'en mars 1871. Lieutenant le 25/9/1870, puis  Capitaine le 10/1/1871. La commission de révision des grades le remet Lieutenant et il est nommé chevalier de la Légion d'Honneur le 2/9/1871.

Le 9/3/1872, il passe au 4e régiment de Hussards et retrouve son grade de Capitaine.

Il est promu Chef d'escadrons et sert comme major au 11e Hussards en decembre 1877 et quitte l'armée le 16/1/1886.

Il est mort le 19/2/1888

Photo le Roch (Saumur)

   


   

Jean Marie Catherine Henri de Carayon Latour

Né le 17/4/1850 à Paris, Jean de Carayon Latour est l'arrière petit fils du maréchal d'Empire Pérignon.

Il est Saint Cyrien lorsqu'éclate la guerre de 1870. Interrompant ses études, il est nommé Sous lieutenant le 14/8/1870 au 3e régiment de Hussards. Durant la guerre de 70, il est nommé Lieutenant à titre provisoire le 15/12/1870.
A la fin de la guerre, il retourne à Saint Cyr terminer ses études, ce qui fut un vrai contrainte pour la plupart de ces officiers qui avaient fait la guerre. C'est probablement à cette occasion qu'il se fait photographier à Paris, dédicaçant son portrait d'un original "d'Esterhazy à Esterhazy. A vous de coeur". Quelques temps après, le second escadron de son régiment est désigné par le sort pour contribuer à la fomation du nouveau 11e régiment de Hussards en Algérie, Carayon Latour change donc de régiment.

Promu Capitaine en juin 1876, il est nommé officier d'ordonnance du ministre de la guerre (31/12/1877 au 23/1/1879), puis du général commandant la 1ere brigade de Hussards (aout 1879-avril 1881). Il est ensuite envoyé en Afrique et participe à des colonnes pour réprimer des mouvements insurrectionnels en Algérie, puis à la campagne de Tunisie entre avril 1881 et mai 1882. Après quelques mois d'interruption de carrière pour infirmités temporaires, il reprend du service actif le 16/11/1883 au 12e régiment de cuirassiers. Entre fevrier 1885 et juin 1886, il est détaché comme officier d'ordonnance du général de Galliffet, Président du Comité consultatif de cavalerie.

Il est promu Major en février 1887 au 11e régiment de cuirassiers et demissionne de l'armée en février 1888 à la mort de son père et de son oncle qui lui lèguent une très grande fortune. Il reçoit la Légion d'Honneur peu de temps après.

Il poursuit alors une carrière dans la cavalerie territoriale et est fait officier de la Légion d'Honneur en 1912. Au déclanchement de la guerre de 14, il est mobilisé et participe à la campagne de Belgique et à la bataille de la Marne. Il y est décoré de la croix de guerre.

Il est mort le 29/11/1916

Photo Lejeune (Paris)


    

Adrien Marie Ghislain, Comte de Wignacoourt

 

Né à Saint-Marceau (Ardennes) le 23/10/1845, il fait l'école de Saint Cyr et est nommé Sous Lieutenant au 3e régiment de hussards en octobre 1867. Il en porte la tenue à gauche (cliché Franck).

Sa carrière militaire est brève, car il épouse Melle de Beauvau, fille du prince Etienne de Beauvau, dont il obtient une dot extraordinaire. Sa fortune faite, il quitte l'armée peu avant la guerre de 1870.

Lors de la guerre de 1870, après les premiers désastres, il rentre avec son grade dans son ancien régiment, devenu le 6e régiment de cavalerie légère de marche. Il fait alors la campagne de l'armée de la Loire, prend part à la bataille de Patay et à tous les combats livrés entre Orléans et le Mans. Peu avant la fin de la guerre, il est photographié ici à droite par le photographe Marius à Laval. Il quitte le service actif après la Commune et passe dans les cadres de l'armée territoriale. 

Il débute alors une vie publique comme conseiller général du canton de Flize (Ardennes) en 1880. S'étant présenté à la députation en 1889, il échoue une première fois, mais est finalement élu en 1893 dans les rangs républicains, comme député des Ardennes. Il participe à la législature 1893-1898, mais ne retrouve pas son siège après cette date.

Il est mort à Ixelles (Belgique) le 21/10/1915.

    


  

Marie Lucien Henry Gérard de Dampierre

Né le 31/1/1851 à Vignau, dans les Landes, il est encore à l'école de Saint Cyr lorsqu'éclate la guerre de 1870.

Fait Sous Lieutenant au 7e régiment de lanciers le 15/7/1870, il participe aux opérations de l'armée de Chalons et est compris dans la capitulation de Sedan.
Revenu de captivité, il est nommé au 3e régiment de Hussards en avril 1871 et rejoint son nouveau régiment à Versailles pour participer aux opérations contre la Commune. Le régiment contribue aux opérations par diverses reconnaissances et en escortant des prisonniers à Versailles. C'est durant ces quelques mois passés à Paris qu'il se fait photographier chez Reutlinger, dans cette pose romantique, chausé d'une pelisse d'un modèle de celui des chasseurs d'Afrique.
On pourra rapprocher cette photo de son signalement dans ses états de services : "Taille 1m88, cheveux bruns, sourcils bruns, yeux bruns, front haut, nez fort, bouche moyenne, menton rond, visage ovale".
Dampierre passe au 10e Hussards en mars 1872, puis rejoint l'Algérie au 2e régiment de chasseurs d'Afrique en octobre 1872.

Il est nommé Lieutenant le 4/9/1874 au 1er Hussards, puis Capitaine en mars 1879, cette fois au 16e régiment de chasseurs. Après une interruption de carrière de trois ans pour infirmités temportraires, il reprend son activité au 16e régiment de Dragons en juillet 1888. Fait chevalier de la Légion d'Honneur en 1890.

Il est mort en 1926.

Photo Reutlinger (Paris)

 


Adrien Christian Marie Pérez

Né le 21/7/1849 à Mirande, c'est le fils d'un avocat. Elève de Saint Cyr en 1868, il est nommé Sous Lieutenant en juillet 1870 au 3e régiment de Hussards.

Il rejoint son régiment le 19 septembre, alors que celui ci, ayant échappé par miracle à l'encerclement de Sedan, se reconstitue à Rouen. Le lieutenant Pérez fait campagne en Normandie, puis lorsque le 3e Hussards est incomporé au 19e corps d'armée de la Loire en janvier 1871, il est promu Lieutenant à titre provisoire. Après la fin des hostilités, la commission de révision de grade instaurée après la guerre le maintien dans ce grade.
Après la guerre, le 3e régiment de hussards est envoyé en Algérie en mars 1875, ce qui nous vaut cette jolie photographie de Perez, autographiée au dos d'une mot assez long adressé à Foch, son ami et futur maréchal de France durant la première guerre mondiale . "Mon cher Foch, merci de ton souvenir. Je suis à Sétif (Algérie) depuis mars. Je ne suis pas encore Capitaine, mais je vais être nommé ce mois ci ou le suivant. J'espère rentrer en France. Voici la petite photographie que tu désires. Le soleil d'Afrique n'a pas su égayer ma figure que je te prie de ne pas croire aussi piteuse que cela. Je désire te retrouver bientôt et j'avais chargé un officier du train, M Baine, qui rentrait à Saint Girons de mes souvenirs pour toi.".

Comme indiqué dans son message, il est promu Capitaine le 16/3/1876 au 6e régiment de Hussards qu'il rejoint en France. Suit alors une carrière exclusivement métropolitaine.

Perez est promu Chef d'escadrons le 13/1/1887 au 5e régiment de chasseurs, puis passe au 17e régiment de l'arme en novembre de la même année. Il reçoit la croix de la Légion d'Honneur le 20/12/1890.
Il est ensuite Lieutenant Colonel le 26/12/1893 au 14e régiment de chasseurs.

Le 2/3/1898, il revient au 3e régiment de Hussards, cette fois comme Colonel. Seule action notable durant cette période, un blessure reçue en service commandé en novembre 1901, lorsque son régiment est envoyé pour assurer l'ordre durant les grèves à Pont à Mousson. Lors d'une rixe, il est désarçonné, tombe de cheval et subit une commotion cérébrale. Il est chevalier de l'Ordre du mérite militaire d'Espagne en mars 1906.

Général de brigade, le 24/6/1906, il est nommé au commandement de la cavalerie du 13e Corps d'armée, puis officier de la Légion d'Honneur le 10/7/1907.
Passe au cadre de réserve en 1911 et est promu Commandeur de la Légion d'Honneur le 30/12/1911.

Il est mort en 1933.

Photo Clavier (Sétif)

   


 

Les officiers du 3e régiment de Hussards

C'est vers 1892 que les officiers du 3e Hussards sont ici photographiés. Le colonel de Kerdrel est entouré du Lieutenant Colonel de Chabot et des officiers du régiment.

Ce régiment est attaché à la 4e division de cavalerie, formation de couverture faisant partie du 6e corps d'armée.

      

 

Les colonels du 3em régiment de Hussards

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