Le 6e régiment de Chasseurs

-

Historique sous le IInd Empire et le début de la 3e république

 

Le 6e Chasseurs n'est engagé qu'en 1870 et participe aux charges de Sedan dans la brigade du général Tilliard. Il n'a pas participé aux autres campagnes du Second Empire. Il a en revanche été en garnison en Algérie (à Sétif) entre 1865 et 1869.

Le 15/7/1870, le régiment est en garnison à Tarascon lorsqu'il reçoit l'ordre de former 5 escadrons de guerre et de constituer la brigade légère de la division de cavalerie du général Salignac Fénelon et se rassemble au camp de Chalons. Un escadron (le 6e) est désigné pour servir d'escorte au Maréchal Canrobert et rejoint Metz. Il participera aux combats autour de la ville et se rendra à la capitulation de Metz. Les quatre autres escadrons sont attachés à la division du général Margueritte.

Le 1/9/1870 à Sedan, un escadron, le premier, participera à la charge du soir, perdant 125 hommes dont 4 officiers.

Jean Alexandre Ernest de France

Né le 6/2/1815 à Paris, ce fils du général Comte de France fait l'école de Saint Cyr en 1831.

Après une première partie de carrière en France, cet officier est nommé Chef d'escadrons au 1er régiment de Spahis le 3/1/1851 et part trois année en Algérie où il est décoré de la Légion d'Honneur (10/5/1852) et se signale au combat de Tigri, le 20/11/1853.

Il est nommé Lieutenant Colonel le 11/6/1854 au 6e régiment de chasseurs.

Il est promu Colonel du 5e régiment de chasseurs, poste qu'il occupe de 1858 à 1866. Il est fait officier de la légion d'Honneur en décembre 1860

Promu Général de brigade, il commande la brigade de cavalerie du corps expéditionnaire de Rome en 1867. En 1870, il prend le commandement de la brigade de cavalerie de la Garde, formée des Dragons et des Lanciers et participe à la mémorable charge de Mars la Tour le 16/8/1870.

Le général de France est promu Général de Division le 26/12/1872. Il exerce divers commandement sous la République avant de passer au cadre de réserve en 1880.
Il est mort le 17/4/1890

  


    

Edmond Philippe Auguste de Vouges de Chanteclair

Né le 14/1/1823 à Nucourt (Seine et Oise), c'est un Saint Cyrien de la promotion d'Orient (1841-1843). Sous Lieutenant en octobre 1843, il est nommé Lieutenant le 5/7/1848 au 4e régiment de lanciers.

Capitaine le 10/5/1852, il sert au 7e régiment de dragons et participe à la campagne de Crimée. Au retour de la campagne, en 1856, il fait partie des officiers retenus pour servir au régiment des Dragons de l'Impératrice et il y devient capitaine adjudant major. Il participe dans ce régiment à la campagne d'Italie, sans que le régiment ne soit engagé au feu.

Chef d'escadrons le 12/8/1861, il passe au 6e régiment de Chasseurs. Il y reçoit la croix de la Légion d'Honneur.

Lieutenant colonel le 10/8/1868, au 1er régiment de cuirassiers. Le 6/8/1870, il s'illustre lors de la célèbre charge de Reischoffen et est nommé Colonel le soir de la bataille. Il prend alors le commandement du 9e régiment de cuirassiers qui est reconstitué après avoir été quasiment détruit à Froeschwiller et qui est engagé à l'armée de la Loire.
Dans ses souvenirs, le général de Cointet qui a servi à cette époque avec lui indique : "Le colonel de Vouges était un homme d'infiniment d'esprit, parfois caustique, officier d'un rare mérite et d'une brillante valeur. C'était un chef et un chef de cavalerie dans la plus large conception du mot. [...] Quand il était garçon c'était un gai compagnon, buvant sec, conteur charmant et retenait le soir au café quelques officiers en fumant force cigarettes et en buvant de petits verres de Curaçao sec. Après son mariage, ce fut un changement d'existence complet auquel il se prêta de bonne grâce, car c'était un homme excellent et sa femme, par son charme et sa douceur, avait pris un grand empire sur lui." 

Il est nommé officier de la Légion d'Honneur le 18/11/1870 et en janvier 1871, promu nommé Général de brigade et prend la tête d'une brigade de cavalerie à l'armée de la Loire.

Il est promu Général de division le 5/6/1877 et est nommé inspecteur de cavalerie, membre du comité technique de cette arme. Ses facultés semblent alors décliner, toujours selon de Cointet : ""Ses brillantes facultés commencerent alors à s'altérer et il en arriva à une sorte de folie. Il ne voyageait plus qu'en emportant avec lui toutes ses valeurs, armé d'un poignard et d'un révolver." Il est décédé le 17/8/1879.

Photo Levitski (Paris)


Eugène Le Motheux Duplessis

Né le 22/2/1824 à Chateau Gontier, Eugène Le Motheux Duplessis fait l'école de Saint Cyr en 1842 et en sort Sous Lieutenant du 28e régiment d'infanterie le 1/10/1844.

Le 15 décembre de l'a²nnée suivant, il rejoint l'arme de la cavalerie et plus précisément le 6e régiment de chasseurs à cheval. Il y est promu Lieutenant le 14/5/1850. Le 23/12/1850, il est mis en non activité par suspension d'emploi pour trois mois.

Promu Capitaine le 1/5/1854, il devient adjudant major au régiment le 24/12/1858, poste qu'il occupe durant deux ans et reçoit la croix de la Légion d'Honneur le 26/12/1864. Il va ensuite servir en Algérie entre octobre 1865 et mai 1869.

Le 10/4/1869, il est promu Chef d'Escadrons au 2e régiment de Hussards.

Durant la guerre de 1870, il sert une première fois à l'armée du Rhin et est blessé le 16/8/1870 lors de la grande bataille de cavalerie de Mars la Tour d'un coup de pointe à la région latérale gauche du cou. Il est laissé sur le terrain aux mains de l'ennemi.
Le Motheux réussit à rejoint l'armée et il fait ensuite campagne comme commandant en second au 7e régiment mixte de cavalerie légère, entre décembre 1870 et mars 1871, à l'armée de la Loire puis l'armée de l'Est. Le 1/4/1871, son régiment est fusionné avec le 8e régiment de chasseurs, dont il est nommé chef d'escadrons. Le 5/10/1872, il est mis en non activité pour infirmités temporaires et quitte le service actif.

Il est mort le 10/3/1891.

Photo Descomps (Auch)

     


  

Eugène Amédé Delamothe.

Né le 20/12/1836 à St Etienne, ce fils d'un officier d'artillerie s'engage comme cavalier au 8e régiment de chasseurs en aout 1855 et est promu brigadier un an plus tard. C'est peu après sa nomination comme maréchal de logis, qu'il suit son régiment en garnison en Algérie (entre avril 1859 et septembre 1862).

Promu Sous Lieutenant le 13/8/1863, il passe au 6e régiment de chasseurs et retourne un nouvelle fois en Algérie entre octobre 1865 et décembre 1869.

Nommé Lieutenant le 28/5/1870, il fait la guerre de 1870. Lors de la bataille de Sedan, son escadron (le second) est pris sous le feu de l'artillerie alors qu'il traverse le bois de la Garenne : "Traversée pénible et lente au  gré de chacun, bien qu'elle n'ait duré que 15 à 20 minutes ; comme disaient les hommes : l'endroit était malsain, les obus y faisaient brutalement leur office, éventrant et blessant plus de chevaux que d'hommes, les arbres abbatus faisaient d'inextricables abbatis, naturellement enchevêtrés. L'ouragan de mitraille couvrait le sol de nombreuses victimes : partout des cadavres, les hommes se tordant de douleur, les chevaux trainant leurs chairs pantelantes et arrosant de leur sang tout ce qui les entourait. Heureusement la terre était meuble, les routes aussi, une entre autres nouvellement ouverte, pas encore empierrée, et les projectiles s'y enfonçaient en faisant fougasse, soulevant des trombres de terre, de poussière et de cailloux. Le Sous Lieutenant Delamothe avait été fortement contusionné dans les reins par un éclat d'obus (Les charges de Sedan - R. de Mandres)".
Il est capturé à Sedan et est libéré en avril 1871, mais pas avant de se faire photographier (à droite) par l'atelier Herrfurth (Merseburg). Huit années séparent ces deux photos, pourtant notre officier semble avoir vielli de bien plus d'années...
Delamothe est nommé chevalier de la Légion d'Honneur le 31/12/1872.

Promu Capitaine le 8/3/1873, il passe au 6e régiment de Dragons.

Il est promu Chef d'Escadrons le 29/7/1885 et passe au 3e régiment de Spahis. Officier de la Légion d'Honneur le 29/12/1887, il est retraité le 1/6/1888. Il est mort le 2/12/1890.

A gauche, Photo Oulif (Metz)

 

   


Galliot Gabriel Charles de Mandat de Grancey

Né le 25/4/1832 à Chatillon sur Seine. Elève de Saint Cyr entre 1851-1853 (dont il est sorti 39e sur 230), puis de l'école de cavalerie de Saumur (sorti 48e sur 53), il est affecté au au 6e régiment de chasseurs comme Lieutenant (1857 - ici photographié par Disdéri), puis Capitaine (1863), adjudant major et commandant un escadron. Il démissionne de l'armée le 15/5/1869.

Au déclanchement de la guerre, il retrouve un emploi comme Capitaine attaché à l'état major de la 2e division d'infanterie du 16e Corps de l'armée de la Loire en novembre 1870 et assiste aux batailles de Coulmiers (9/11/70), Loigny (2/12/70) et Boulay (4/12/70). Il devient ensuite officier d'ordonnance du général Ducrot de mars à mai 1871 et sert contre la Commune.

Après la guerre, Mandat Grancey est détaché à l'ambassade anglaise du 29/7/1871 au 1/7/1876. Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur le 20/11/1872 et promu Chef d'Escadrons le 5/4/1875.

A son retour d'Angleterre, il rejoint le 3e régiment de Chasseurs. Il est promu Lieutenant Colonel le 28/2/1881, au 6e régiment de Hussards

Nommé Colonel le 29/12/1885, au 14e régiment de chasseurs, puis au 3e régiment de Spahis (12/10/1889). Il finit sa carrière en étant nommé officier de la Légion d'Honneur le 30/12/1890.

Il meurt le 6/6/1912.

Photo Disdéri (Paris)

   


 
     

Guillaume Jean Marie Gaston Duhesme.

Né le 21/7/1833, Gaston Duhesme est le petit fils du général Comte Duhesme, héros de l’Empire, tué à Waterloo. Saint Cyrien en 1853, il est promu Sous Lieutenant le 1/10/1855 au 6e régiment de chasseurs à cheval. Il participe à la campagne d’Italie.

En 1860, il est fait comte à la suite du décès de son père. Promu Lieutenant le 28/1/1860, il suit durant un an les cours de l’école de Saumur. Il reçoit l’ordre de Saint Maurice et Lazare et il porte ses deux décorations sur ce beau portrait de Disdéri.

Il est fait Capitaine le 31/12/1863. En avril 1865, il épouse la fille du maréchal Niel. En 1865, il rejoint l’Algérie avec son régiment, mais le quitte pour occuper les fonctions d’officier d’ordonnance du général de Ladmirault, sous gouverneur de l’Algérie, puis de son successeur, le général Durrieu, à compter de janvier 1867. Un mois plus tard, il rentre en France et il est nommé officier d’ordonnance de son beau père, le maréchal Niel, alors ministre de la guerre. Il est fait chevalier de l’ordre de l’épée de Suède, puis un an plus tard chevalier de l’Ordre de Pie IX.

Fortement poussé dans la carrière par ces supports prestigieux, Duhesme est nommé Chef d’escadrons le 5/8/1869, au 2e régiment de Hussards. Durant la guerre de 1870, il est engagé dans les opérations autour de Metz et il participe à la grande charge de Mars la Tour contre le 13e régiment de dragons prussiens. Il s’y distingue et il est nommé chevalier de la Légion d’Honneur le 5/9/1870. Interné en Allemagne après la capitulation de Metz, il participe ensuite aux opérations de répression de la Commune de Paris.

Il est promu Lieutenant Colonel le 12/1/1857, au 12e régiment de Hussards, puis Colonel du 8e régiment de Dragons le 12/1878.

Il est fait Général de brigade le 12/7/1884, prend le commandement de la 1er brigade de cavalerie et est promu officier de la Légion d’Honneur le 29/12/1887.

Il finit sa carrière comme Général de Division, inspecteur de cavalerie et Commandeur de la Légion d’Honneur (le 10/7/1894).

Il est mort le 29/8/1905.

Photo Disderi (Paris)


 

Marie Louis de Bellegarde

Né le 4/10/1837 à Gaillac, ce Saint Cyrien est nommé Sous Lieutenant au 6e régiment de chasseurs le 1/10/1859. Lors de la présence de son régiment en Algérie, il reçoit une médaille d'or pour s'être particulièrement distingué par son zèle et son dévouement pendant l'épidémie de choléra et reçoit en outre le Nicham Iftikar.

Il lui faut cependant 10 ans pour être promu Lieutenant le 3/3/1869. Il fait la guerre de 1870 à l'escadron d'escorte du Maréchal Canrobert dont il a l'occasion de se faire apprécier : "Appelez le lieutenant de Bellegarde", crie le maréchal Canrobert au groupe que forment ses officiers. Un jeune lieutenant de chasseurs à cheval, distingué et d'allures aimables se présente. Le Maréchal a déjà apprécié son activité et son intelligence la veille au soir à Borny et constaté qu'il est admirablement monté - il avait en effet un cheval tarbe truité infatigable (Souvenirs d'un siècle - G.Bapst)"
Fait prisonnier à la capitulation de Metz, il est nommé chevalier de la Légion d'Honneur le 31/5/1871

Après la guerre, il est nommé Capitaine (le 23/4/1872) au 16e dragons.

Chef d'Escadrons le 17/11/1878, il sert comme major au 24e régiment de dragons (1878-1881), puis chef d'escadrons au 18e dragons.

Il est nomm Lieutenant Colonel le 13/5/1885 au 2e régiment de Hussards, régiment dont il prend le commandement le 15/10/1887 et dont il devient officiellement le Colonel le 12/10/1889. Il est officier de la Légion d'Honneur le 17/9/1891.

Promu Général de brigade le 1/5/1894, il finit sa carrière comme Général de division, commandant la cavalerie en Algérie et commandeur de la Légion d'Honneur.

Il est mort en février 1907.

    


      

Pierre Emile Eugène Napoléon Lajousse

Né le 31/8/1832 à Versailles, c'est le fils d'un officier de cavalerie. Le 31/12/1850, il s'engage comme cavalier au 1er régiment de chasseurs d'Afrique et va servir en Algérie. Il est nommé brigadier, puis maréchal de logis (18/12/1852). Le 30/5/1854, il part en Orient et va servir en Crimée jusqu'en juin 1856. Il revient d'orient maréchal des logis chef, décoré de la médaille de Crimée.

Le 24/3/1858, il est promu Sous Lieutenant au 6e régiment de chasseurs et il en devient le porte drapeau entre novembre 1860 et janvier 1865.

Promu Lieutenant le 6/1/1865, il est photographié à Auch, garnison du régiment peu avant son départ pour l'Algérie (octobre 1865- decembre 1869), arborant fièrement sa médaille de Crimée. Lajousse est nommé chevalier de la Légion d'Honneur le 12/3/1866.

Le 26/7/1870, il est nommé Capitaine et fait la campagne de 1870. Le 24/8/1870, il est détaché comme officier d'ordonnance du général d'Exéa, commandant la 1ere division d'infanterie du 13e corps d'armée et il fait le siège de Paris. Il conserve ces fonctions lorsque d'Exéa est nommé au commandement du 2e corps de la 2e armée de Paris.
Après la guerre, il est nommé trésorier au 10e régiment de chasseurs (le 24/5/1871), puis commandant un escadron le 15/3/1873. 

Nommé Chef d'Escadrons, le 20/9/1881, il est nommé major au 12e régiment de Hussards le 24/9/1881.

Officiers de la légion d'Honneur le 20/12/1886, il est retraité en juin 1888. Il meurt le 2/5/1905.

Photo Descomps (Auch)


   

Ambroise Jacques Jean Périgord de Villechenon

Né le 15/4/1829 à Confolens (Charente). Saint Cyrien en 1847, il est nommé Sous Lieutenant au 12e régiment de Dragons le 1/10/1849. Il passe au 1er régiment de chasseurs au mois de décembre, puis au 6e régiment de chasseurs le 29/10/1851.

Promu Lieutenant le 1/5/1854, puis Capitaine le 2/8/1858, il sert en garnison en Algérie entre 1865 et 1869. Il est nommé chevalier de la Légion d'Honneur en juin 1866.

Le 27/2/1869, il est promu Chef d'Escadrons, et passe comme major au 7e régiment de Hussards. Resté au dépôt du régiment dans les premiers mois de la guerre, il est nommé Chef d'escadrons et fait campagne entre décembre 1870 et mars 1871 au 8e hussards de marche.
Après la guerre, il passe avec son grade au 10e régiment de chasseurs. Il est promu officier de la Légion d'Honneur le 20/11/1872.

Promu Lieutenant Colonel le 8/10/1875, il est nommé au 9e régiment de Chasseurs, dont il prend le commandement après sa promotion comme Colonel le 10/7/1880. Il participe alors au corps expéditionnaire en Tunisie (mai-juillet 1881) et sert en Algérie notamment dans les colonnes chargées de réprimer les mouvement insurectionnels en 1881 et 1882.

Il est promu commandeur de la légion d'Honneur en juillet 1887, peu avant se retraite en 1888.

Il est mort en 1908.

Photo Nadar (Paris)


Albert Gabriel Etienne Gaston Pistollet de Saint Ferjeux

Né le 5/6/1835 à Langres, Saint Cyrien, il est nommé Sous Lieutenant le 31/10/1856 au 6e régiment de chasseurs.

Lieutenant le 12/3/1864, il fait campagne en Algérie de 1865 à 1868.

Capitaine le 8/8/1869. En 1870, il est officier d'ordonnance du général Salignac Fénelon. Lors de la journée de Sedan, il a deux chevaux tués sous lui. Ses états de service mentionne aussi qu'il est blessé. Fait prisonnier à Sedan, il est libéré en avril 1871 et participe à la repression de la Commune de Paris. Le 16/7/1871, il est nommé adjudant major et reçoit la croix de la Légion d'Honneur en septembre.

Le 12/4/1877, il est nommé Major au 9e régiment de Hussards, puis en décembre 1881, il passe Chef d'escadrons au 20e régiment de chasseurs

Le 28/10/1885, il est nommé Lieutenant Colonel au 4e régiment de chasseurs d'Afrique en garnison en Tunisie. En aout 1886, il revient servi au 6e chasseurs, le régiment de ses débuts.. Il est retraité en septembre 1890 et est promu officier de la Légion d'Honneur.

Il est mort le 28/4/1903

Photo le Roch (Saumur)

 

    

Ils ont servi au 6e régiment de chasseurs : Major de Bailliencourt Courcol.

 

Les colonels du 6e chasseurs

  • Delhorme (1846-1852)
  • Dalmas de Lapérouse (1852-1859)
  • de Gondrecout (1859-1863)
  • Gayault de Maubranche (1863-1869)
  • de Sonis (1869)
  • Bonvoust (1869- 1872)
  • Ney d'Elchingen (1872-1875)
  • de Joybert (1875-1876)
  • Lardenois (1876-1882)
  • de Sesmaisons (1882-1887)
  • de Ville (1887-1894)
  • Duhesme (1894-1900)
  • Dimier de la Brunetière (1900-1906)
  • Brévillac (1906-1913)
  • Boubée de Gramont (1913-1914) 

       Retour